Du latin *berbex*, brebis.**Définitions de l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert (1758) ** **BERGER : ** S. m. (Oecon. rust.) est celui qui garde un troupeau. Il faut qu'il soit levé de grand matin ; qu'il fasse sortir les bestiaux à la fraîcheur ; qu'il connoisse les bons endroits pour les y conduire ; qu'il ait un bon chien ; qu'il ne laisse point répandre son troupeau dans les blés ; qu'il ait soin d'avoir de bons béliers ; qu'il sache aider une brebis à agneler ; qu'il puisse médicamenter les brebis malades ; qu'il s'entende à leurs maladies, & qu'il ne se laisse point surprendre par les loups. On peut lui confier depuis cent jusqu'à cent cinquante brebis ; on lui fera nettoyer la bergerie une ou deux fois l'an, au mois de Mars & à la fin d'Août ; il tiendra un sac de sel pendu dans la bergerie, afin que les brebis pour qui ce seroit un remede, puissent l'aller lécher ; & il veillera soigneusement à ce que les couleuvres ne tetent point ses brebis, soit dans la bergerie, soit aux champs. |
**Métier de :**
- *Jean MONTALAN* , berger à la Villette aux Aulnes en 1724 - *Gilbert MONTALAN* , berger du sieur Rougeole, procureur fiscal de Rosny sous Bois, en 1724
*Sources :*
*- [Wikipédia](http://fr.wikipedia.org/wiki/Cabaretier)* [**](http://diderot.alembert.free.fr/)